En s’associant à Lyv, MGEN souhaite explorer des pistes d’action concrètes pour accompagner au mieux les femmes souffrant d’endométriose et construire la meilleure offre de prise en charge de la maladie possible.
Grâce à ce partenariat unique entre MGEN et Lyv, soutenu par l’association de patientes EndoFrance, 1 000 femmes sélectionnées sur la base du volontariat parmi les adhérentes de la mutuelle, participent gratuitement au programme de la School of Endo®, plateforme d'éducation et de mise en action pensée avec des spécialistes de la maladie pour mieux vivre l’endométriose. Ce programme a également été proposé aux salariées MGEN.
Grâce à ce partenariat unique entre MGEN et Lyv, soutenu par l’association de patientes EndoFrance, 1 000 femmes sélectionnées sur la base du volontariat parmi les adhérentes de la mutuelle, participent gratuitement au programme de la School of Endo®, plateforme d'éducation et de mise en action pensée avec des spécialistes de la maladie pour mieux vivre l’endométriose. Ce programme a également été proposé aux salariées MGEN.
« MGEN se bat depuis sa création pour faire avancer les prises en charges et notamment celles liées à la santé des femmes. Quand on sait qu’environ 1 femme sur 10 en âge de procréer est concernée, parler des douleurs liées aux règles et contribuer à ce que l’endométriose soit mieux diagnostiquée et accompagnée est un enjeu majeur. Nous nous devons d’innover et de trouver des solutions pour les femmes adhérentes de notre mutuelle, et plus largement, d’en faire un sujet de société ». Matthias Savignac, président MGEN
« L’endométriose est une maladie d’errance, avant mais aussi après le diagnostic, pour trouver la solution adaptée et apaiser les symptômes en l’absence de traitement curatif. C’est une maladie lourde en dépenses multiples liées à la nécessité de mettre en place un parcours pluridisciplinaire et d’avoir recours à des thérapies complémentaires souvent à la charge des patientes. Cette expérimentation de grande ampleur entre Lyv et MGEN est un projet porteur d’espoir pour l’avenir de la prise en charge de la maladie ».Chloé Bonnet, co-fondatrice et co-CEO de Lyv
L’endométriose est une maladie de souffrance pour les femmes mais aussi d’errance médicale qui précède le diagnostic (7 à 10 ans en moyenne). La startup Lyv s’est construite sur un constat fort : les femmes touchées connaissent ensuite une nouvelle errance post-diagnostic avec la quête infinie du bon traitement, des bons professionnels de santé, de l’amélioration du quotidien, de l’enfant tant attendu et de l’apaisement des souffrances.
3 mois pour transformer son mode de vie et s’apaiser
Un programme digital pluridisciplinaire créé par et pour les patientes, alliant expertise médicale et thérapies complémentaires, pour mieux comprendre la maladie, adopter un mode de vie adapté et mieux vivre avec son endométriose.
Ce parcours est basé sur 5 piliers :
« L’endométriose est une maladie d’errance, avant mais aussi après le diagnostic, pour trouver la solution adaptée et apaiser les symptômes en l’absence de traitement curatif. C’est une maladie lourde en dépenses multiples liées à la nécessité de mettre en place un parcours pluridisciplinaire et d’avoir recours à des thérapies complémentaires souvent à la charge des patientes. Cette expérimentation de grande ampleur entre Lyv et MGEN est un projet porteur d’espoir pour l’avenir de la prise en charge de la maladie ».Chloé Bonnet, co-fondatrice et co-CEO de Lyv
L’endométriose est une maladie de souffrance pour les femmes mais aussi d’errance médicale qui précède le diagnostic (7 à 10 ans en moyenne). La startup Lyv s’est construite sur un constat fort : les femmes touchées connaissent ensuite une nouvelle errance post-diagnostic avec la quête infinie du bon traitement, des bons professionnels de santé, de l’amélioration du quotidien, de l’enfant tant attendu et de l’apaisement des souffrances.
3 mois pour transformer son mode de vie et s’apaiser
Un programme digital pluridisciplinaire créé par et pour les patientes, alliant expertise médicale et thérapies complémentaires, pour mieux comprendre la maladie, adopter un mode de vie adapté et mieux vivre avec son endométriose.
Ce parcours est basé sur 5 piliers :
- La connaissance de la maladie / de soi
- L’alimentation
- L’activité physique adaptée
- La gestion du mental
- La vie affective et sexuelle
Le programme de la School of Endo®, cœur du partenariat avec MGEN, repose sur :
- 12 semaines d’accompagnement pluridisciplinaire digitalisé ;
- 10 spécialistes (Erick Petit, radiologue ; Pierre Panel, gynécologue ; Michaël Grynberg, médecin de la fertilité ; Delphine Lhuillery, médecin spécialiste de la douleur ; Rodolphe Benoît-Lévy, ostéopathe et kinésithérapeute ; Emilie Stern, psychologue ; Vanessa Gouyot, diététicienne et micro-nutritionniste ; Lara Blondet, masseur-kinésithérapeute ; Giulia Ragoucy-Denis, masseur-kinésithérapeute et professeur de Pilates ; Sophie Younes, sophrologue et psychologue clinicienne ; Mélanie Cordon, sexologue) ;
- Des masterclass et vidéos explicatives pour mieux comprendre la maladie ;
- Des mises en action et exercices pour tester et installer de nouvelles habitudes et améliorer sa vie quotidienne ;
- Des sessions live avec les professionnels de santé ;
- Une communauté de femmes qui partagent les mêmes problématiques ;
- Un accès à l’ensemble des contenus jusqu’à 3 mois après la fin du programme pour que chaque inscrite puisse le suivre à son rythme et l’intégrer facilement à son quotidien ;
- Un projet de recherche, la Lyv Research, visant non seulement à mesurer l’efficacité des parcours de la School of Endo® mais surtout à faire avancer la recherche sur l’endométriose.
Les inscriptions sont toujours ouvertes pour les femmes qui voudraient participer à la deuxième session qui démarrera à partir du 9 janvier 2023.
1Dès les années 1950, MGEN a soutenu les premières consultations d’orthogénie (prémices du planning familial). Puis en 1975, le droit de remboursement de l’Interruption volontaire de grossesse (écarté des prestations de la Sécurité sociale). La mutuelle a contribué à la recherche contre le cancer, avec le recrutement et la participation depuis 1990 de 100 000 adhérentes MGEN, de leurs filles et petites-filles, à l’étude épidémiologique de l’INSERM E3N-E4N sur les facteurs héréditaires du cancer. En 2011, MGEN a lancé une pétition contre les fermetures de centres d’IVG et de planning familial. Puis, elle a pris publiquement position en faveur de la « PMA pour toutes » dès septembre 2017. En 2020, MGEN s’associe à la Fondation des Femmes pour publier la première enquête sur les Français et la ménopause, afin de briser les tabous et faire évoluer la prise en charge de son impact sur la vie des femmes (santé, travail, vie personnelle).